Eh bien, je ne suis ni choquée ni surprise par ce titre que je vous conseille de laisser ainsi, car il a au moins le mérite d'attirer le regard et la lecture des commentaires en est intéressante.En lisant le texte de départ, j'avais peu de doutes sur le coté "forcé" car j'ai bien ressenti dans vos mots la progression que votre Sorcière a suscité en vous : passer de ce qui n'est pas envisageable à ce qui devient un désir commun.J'aime beaucoup cette montée en puissance, allant des suggestions aux désirs affirmés.Cela peut prendre du temps, peu importe, le tout étant de réussir à grandir ensemble, avec ce décalage des transferts de pouvoir, ce respect inhérent à la relation (sans respect de l'autre, rien n'est envisageable pour moi) et ce sourire dans le regard : oui oui, un regard, ça sourit souvent pour celui ou celle sachant le détecter.Puis en lisant vos précisions, Sa Sorcière, j'ai ressenti cette douce perversité (sourire) que nous détenons parfois (nous = les dominae) pour conduire son autre là où nous désirons les déposer.. J'aime beaucoup.Pour autant, je suppose que si votre soumis avait eu une réelle aversion pour la sodomie avec un autre homme, et que ce fut un interdit clair et net pour lui, le mot "forcé" n'aurait même pas de sens, et le seul qui me vienne à l'esprit serait viol au sens juridique.Et là, c'est une tout autre histoire, ce que je ne ressens pas du tout en vous lisant tous les deux.Pour avoir vécu ce genre d'émotions, je vous souhaite beaucoup de plaisirs
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